La rémunération pour copie privée n’est pas un dispositif essentiellement français ou européen, même si c’est l’Allemagne, qui, la première, a prévu cette exception au début des années 1960, puis a instauré un système de compensation financière sur la vente de supports d’enregistrement audio et vidéo en 1965.
La part consacrée à l’action culturelle et sociale varie selon les territoires : Autriche (50% culturel et social), en Croatie (30%), au Danemark (33%), en France (25%), en Estonie (10%), en Hongrie (7%), au Japon (20%), au Burkina Faso (50%), en Lituanie (25%), aux Pays-Bas (15%), au Portugal (20%), en Russie (20%), en Italie (50% sur les sommes provenant de la vidéo)…